Les 80'' de Nicolas Demorand 47714r

durée : 00:02:36 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Puisqu’on connaît tous bien ça dans l’équipe de la matinale, et que le manque de sommeil est l’un des grands maux du siècle, un petit éloge de la sieste qu’on trouve dans un livre qui vient de paraître et que signe le philosophe Sébastien Spitzer.

durée : 00:02:25 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:48 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Dans l'enfer rococo du Bureau ovale.

durée : 00:01:43 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:39 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:02:16 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:39 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Nicolas Demorand partage quelques mots de la formidable revue Kometa, dont la dernière livraison est consacrée au Japon.

durée : 00:01:52 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:02:18 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:48 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - .

durée : 00:02:43 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - « Il faut cultiver notre jardin ». On connaît la dernière phrase du « Candide » de Voltaire. Plus de deux siècles qu’elle fait l’objet d’interprétations sans fin. Beaucoup l’ont interpréter comme une invitation à la sagesse, d’autres à trouver un refuge contre les malheurs du monde.

durée : 00:02:02 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:55 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:52 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:02:20 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Ali Baddou nous parle ce matin de l’une des plus grandes bibliothèques sonores au monde.

durée : 00:01:25 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:54 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:46 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:39 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand

durée : 00:01:54 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Puisque le soleil vient de se lever et une pensée pour ceux pour qui la nuit n’est toujours pas terminée — Ces lignes du philosophe Michaël Fœssel dans l’essai qu’il consacre à la nuit… Sous-titre : "Vivre sans témoin". Et si on rêvait à une nuit sans fin ?